Mathieu c'était faufiler discrètement dans la salle de musique... Grande salle remplit de divers instrument... Mais ce qui l'intéresse aujourd'hui, ce n'était pas de découvre des partitions mais l'instrument appuyer sur le mur... Un piano quart de queue entièrement en bois, fraîchement raccordé. Mathieu s'installa et goûta d'abord au premier son... Un Mi... Banal, aigu... Mais splendide, faisant éclater le silence qui régné dans la salle... puis... Un un mi bémol et la mélodie suivit... Célèbre mélodie de Beethoven de 5 ou 6 pages, souvent enfermé dans une boite a musique ou reprise dans des remixes m'étant en valeur une voix électrique horriblement dissonante partant dans le sur aigu puis dans des ralentit presque impossible pour un humain... Bref. La lettre pour Élise fut alors entamé. Les sons occupa l'entier espace de la salle de musique. Mathieu était partit dans un autre monde, un monde fais de note, de porté, de clef musical, d'accord éclatant, explosant, parfait sonnant et dissonant... La mélodie s'acheva bien vite a son goût... Il continua sur une valse de Chopin, extrêmement rapide, jouent sur la rapidité et la dextérité du joueur... Valse minute. Aussi très connue, autant que Élise, et aussi autant magnifique... Mathieu ne faisait pas que joué, il interprétait, m'était des sentiment dans chaque note, les rendant alors, pour lui, plus belle, puis parfaite que jamais. Mais il fallut que tout s'arrête, terminant au milieux d'une mélodie de Bach sur un accord horrible digne d'un filme d'horreur il tourna la tête et jeta pendant une demi seconde son regard le plus sombre... Puis sourit de façon naturellement pour cacher sa noir colère. La salle était sombre, le soleil venait a présent de se coucher...
-Puis-je savoir quel bon vent vous amène ?